Kindert Nouveau citoyen
Race d'Oiseau : Pygargue a tête blanche (Jeune)
Messages : 7 Date d'inscription : 06/10/2012
| Sujet: Endless Mermories [Mlp:FiM] Sam 27 Oct - 20:02 | |
| Bonjour, j'ais enfin décidé de commencer un Fan-Fiction, celle si porte sur My little Pony: Friendship is Magic, elle relate l'histoire de mon OC: Tsuki Yami______ [Mlp :FiM] Chap 1: La Foret ______
- Spoiler:
Je me présente, Tsuki Yami, une quinzaine d’année, je travaille actuellement pour la Princesse Celestia, je ne peux malheureusement vous en dire plus. Le récit que je vais vous conté relate mon enfance, une enfance perdue puis retrouvée. A l’époque je n’étais qu’un jeune poulain, je vivais dans un petit village non-répertorié entre l’Everfree Forest et Dodge City. Comme tous les jours je suivais le chemin de l’école, en essayant de voler pour que savais-je, un jour entré dans la haute académie de sciences de Cloudsdale par mes propres moyens. Une journée comme les autres, notre professeure nous apprenait la cartographie d’Equestria, mes amis et moi jouions dans la cour, c’est en rentrant que tout changea. Par habitude, mes parents me laissaient toujours les clés, cachées dans la fausse cale de la boite aux lettres, nous eûmes subits de nombreux cambriolages ces derniers temps et donc étions de plus en plus prudents. Je vivais dans une grande maison rouge briques style architecture humaine, l’intérieur étais assez spacieux, un ma fois fort grand jardin et une assez jolie aire de jeu. Quand j’ouvris la boite aux lettres, la fausse cale n’était plus ici ainsi que les clés. Je pensais tout d’abords qu’ils avaient tout simplement oublier d’y ranger la cale avec la clé dessous. Je m’approchais prudemment de la porte et toqua : Rien. Je renouvelai : Toujours rien. En me retournant pour vérifier la boite aux lettres, la porte s’entre ouvris. Je fus d’abord surprit, la maison étais sans dessus dessous,sauf la petite table du salon, avec dessus, une lettre rougeâtre.
"Bonsoir, Tsuki, tes parents et moi-même sommes à l’heure où tu lis cette lettre, dans la foret, si tu tiens à les ramener vivant, donne-moi le Crystal de feu que tu possèdes. -Un inconnu."
Je devais donner à cet inconnu le bien le plus précieux que l’on ne m’est donné, ce Crystal de feu qui appartenait à mon défunt Grand-père, c’est avec cette matière que l’alliance de ma future épouse aurait dû être faite. Mes parents passaient avant mes futurs amours, je me résiliai donc à prendre la sacoche ou étais rangée le Crystal de feu.
______ Chap 2 : L’amnésie _______
- Spoiler:
Pas à pas, je m’avançais dans la foret, je regardais régulièrement a mes pieds de peur de marcher ou il ne faut pas. Sacoche en dos, un seul but, trouver et sauver mes parents. Les heures passaient et au fur et à mesure que j’avançais, un étrange pressentiment prenait le dessus sur mes pensées. J’avais le sentiment de tourner en rond, retrouvais-je un jour mes parents ? Alors que tout semblait perdu, j’aperçus une lumière à travers les buissons. Je me précipitai vers la lumière, un feu de camp ainsi qu’une tente y étaient installés. La peur et l’angoisse prirent le dessus sur moi, étaient-ils morts ? Eux qui m’avaient élevés et chéris, mes parents avaient-ils quitté ce monde, ou ce trouvaient-ils dans cette dîtes tente ? La peur au ventre, j’entrais dans la tente, a l’intérieur, mes parents étaient là, endormis, je lâchai un soupir de soulagement. Soudain une grande licorne, entra, et me somma de lui donner la rançon. Ce que je fis, sans hésitation. A ce même moment, mes parents endormis disparurent pour laisser place à deux cadavres ensanglantés. Je restais bouche bai devant les deux cadavres inanimés. La rage et la tristesse, prirent le dessus sur moi et je me jetai corps et âme sur celle qui les avaient assassinés. La licorne n’eut pas le temps de réagir que sa tête percuta un rocher, avant même de toucher un mot. Bien que décédée, je continuais a la frappé. Je repris le Crystal de Feu et l’attacha autour de mon cou. Je courais sans but, seul errant dans la foret, jeune orphelin fuyant la vérité. Confronté à une épreuve relevant de la folie, je me précipitais vers un ravin, je n’avais plus rien en tête et aurait préféré mourir que de réussir à voler. J’y étais, je planais au-dessus du gouffre qui semblait sans fin, quand je perdis conscience en plein vol.
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